Paranormal

Le siège de la SAS en Angleterre, serait hanté depuis une séance de spiritisme improvisée !

Les forces spéciales britanniques n’ont peur de rien… sauf des fantômes. La base de Hereford, dans l’ouest de l’Angleterre, abrite le siège du SAS (Special Air Service), des militaires qui ne risquent pas de s’effaroucher d’une porte qui claque ou d’une ombre qui passe… Et pourtant, assure le Daily Star, plusieurs de ces durs à cuire sont convaincus que leur base et hantée. Et par leur faute !

Tout a commencé il y a quelques mois par une soirée un peu arrosée dans le mess, juste après la levée du confinement. L’ambiance était particulièrement festive et les compagnes et compagnons des soldats avaient été conviés. «Tout le monde avait bu quelques verres, raconte un participant au tabloïd. C’est alors que l’idée d’une séance de spiritisme est venue sur la table. L’une des épouses a dit qu’elle était capable de communiquer avec les esprits. On a pensé qu’elle se vantait mais comme on avait tous un verre dans le nez, on a trouvé que c’était une bonne idée.» Mais la blague a rapidement pris un tour plus inquiétant : «Nous nous sommes assis en cercle en nous tenant la main. La femme a commencé à se balancer d’avant en arrière en poussant des sortes de gémissements. Puis, elle s’est mise à parler d’une voix très étrange. La plupart des gens présents en avaient vu des vertes et des pas mûres au cours de leur carrière au sein de l’armée. Et pourtant je vous jure que quelques uns n’en menaient pas large.»
Et, il semble qu’ils avaient raison d’être inquiets. Depuis cette séance improvisée, les phénomènes étranges se succèdent dans la base du SAS. Les lumières vacillent dans les chambres au milieu de la nuit, un soldat a entendu un rire glaçant sortir d’un placard, un autre a été réveillé en sursaut par une voix désincarnée qui murmurait à son oreille…

Point d’orgue de cette inquiétante sarabande, un militaire a vu une femme âgée, vêtue d’une robe de mariée, traverser un couloir en pleine nuit. L’apparition semblait si réelle qu’il a tenté de l’arrêter mais l’intruse s’est engouffrée dans un local fermé où elle a purement et simplement disparu.
Désormais, le SAS est scindé en deux clans, explique la source du Daily Star : pour les sceptiques, il s’agit simplement d’une psychose collective, sans le moindre fondement, ou, au pire, d’un canular très bien organisé. Pour les autres, la séance de spiritisme a ouvert un passage vers l’au-delà qu’il faut absolument refermer. Certains proposent d’organiser une nouvelle séance avec la même médium pour s’excuser d’avoir «dérangé les esprits». En attendant que le débat soit tranché, le SAS doit continuer à cohabiter avec ses fantômes, les plus insaisissables des ennemis.

Source: Paris Match